Le 07 juillet 2021, le chantier naval Plastimer a procédé à la mise à l’eau d’un bateau de pêche au port de Saint-Guénolé. Le Gure Esperantza II est un navire polyvalent équipé pour la pêche au filet et à la palangre. Ce bateau de 9,25 m de long x 3,35 m de large est doté d’une carène planante issue d’un moule SNSM et propulsé par deux moteurs on-board de 2 x 225 ch. Des moteurs beaucoup moins bruyants qui offrent un confort acoustique et une puissance qui permet de gagner en rapidité.

Réalisé en composite polyester, il est d’une grande qualité mécanique. Il est équipé d’un vire-filet électrique et d’un compartiment isotherme sur le pont avant. La construction a duré 8 mois et le Gure Esperantza II a bénéficié du savoir-faire et de l’expérience de l’équipe de Plastimer. Le navire a été commandé par Benjamin Argelas, un patron pêcheur du bassin d’Arcachon, issu d’une famille de marins pêcheurs. C’est la seconde unité que le patron pêcheur commande au chantier naval de Saint-Guénolé. « J’ai exploité pendant sept ans le premier Gure Esperantza mais j’ai décidé d’une nouvelle stratégie de pêche en faisant construire un bateau de taille équivalente, deux fois moins lourd et plus rapide », explique-t-il. Jusqu’à présent, Benjamin Argelas orientait sa pêche principalement autour de la sole, le maigre et la dorade. Sa nouvelle unité lui permettra de pratiquer la pêche au bar. Son premier bateau, le Gure Esperantza I rejoindra quant à lui Port-la-Forêt.

L’aventure se poursuit pour Plastimer, l’équipe travaille actuellement sur la construction d’un nouveau bateau de pêche (11,40 m x 4,40 m) en partance l’année prochaine pour le port de Granville, en Normandie.

Plastimer

L’entreprise familiale, créée en 1986 et basée au port de Saint-Guénolé, construit des navires polyester pour la pêche côtière et effectue des travaux de maintenance navale, de transformation et de modernisation. Plastimer est labellisée “Entreprise du Patrimoine Vivant” (décision ministérielle de novembre 2018), marque de reconnaissance de l’État mise en place pour distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence.

Le chantier emploie 4 constructeurs navals permanents, moyenne d’âge 28 ans, qui maitrisent les savoir-faire de mise en œuvre des matériaux bois, des matériaux composites polyester, et qui ont une culture forte de la construction navale.

La municipalité s’investit durablement dans l’accompagnement des entrepreneurs comme Plastimer en créant les conditions de développement de leurs activités.

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Les adjoints Jocelyne Le Rhun et Jean-Marc Bren, la maire Gwenola Le Troadec posent devant une photo du port de Kérity datant des années 1970

Depuis quelques semaines, d’anciennes photos du port de Kérity ornent la cale et la criée de Kérity. L’exposition a été réalisée à partir de clichés anciens et datés, transmis par le photographe Roland Chatain et Jean-Louis Guegaden, collectionneur de cartes postales anciennes, l’auteur du site internet Karten Bost Coz (du breton qui signifie “cartes postales anciennes”). En 1875, un môle-abri et un mur de défense du littoral long de 227 mètres sont aménagés sur le port. En 1900, la protection du port est enfin assurée par la construction d’un brise-lames long de 410 m.

Les photos font revivre les moments forts du port. Les clichés dévoilent le retour des pêcheurs et le débarquement des poissons, le travail dans les conserveries, l’abri des marins, la vente sous la criée jusqu’en dans les années 1990… Ces photos rappelleront de bons souvenirs aux habitants de Kérity.

Jocelyne Le Rhun, adjointe au tourisme, a souhaité rendre hommage à l’activité portuaire et aux marins qui ont fait vivre le port.

« Cette exposition se veut évolutive et nous faisons appel aux associations comme MAPK (Marins et Amis du Port de Kérity) et aux habitants pour l’enrichir l’année prochaine », commente Jocelyne Le Rhun.

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Et si on s’autorisait à écrire une légende aujourd’hui, une légende qui aurait existé il y a des milliers et des milliers d’années sur le site de la Pointe du Raz, au croisement de la terre et de la mer et de tous les êtres qui les peuplent, les enfants comme les poissons. Un peu de vent soufflerait alors dans les accordéons de nos sonneurs de vents, et nous pousserait jusqu’à la Pointe du Raz. C’est par cette histoire que l’aventure de L’Écume des Vents a commencé.

Tous les deux ans, l’association quimpéroise Très Tôt Théâtre, scène conventionnée d’intérêt national art, enfance, jeunesse, imagine et met en œuvre un projet participatif avec les enfants des écoles primaires du Finistère. Au cours de l’année scolaire 2020-2021, pas moins de 250 ateliers et rencontres ont été organisés dans le département avec au programme des parcours culturels, artistiques et scientifiques avec pour thématique principale l’univers de la mer.

À Penmarc’h, les élèves de CM1 et CM2 de l’école Thomas Donnard de Saint-Guénolé ont participé aux ateliers accompagnés par plusieurs spécialistes de la mer (chercheurs, pêcheurs, navigateurs…). Les professionnels sont allés à la rencontre des enfants et ils ont tissé des liens forts. Pierre Mollo, biologiste spécialisé dans l’étude du plancton marin a fait découvrir les richesses de l’océan aux élèves. Camille Perreau et son spectacle « Toc, Toc, Surprise ! » a mis en scène une cigogne souhaitant regagner l’Alsace. Tout au long de l’année, les enfants ont participé à des ateliers créatifs en imaginant un poisson, à des ateliers sonores et de danses…

Au total, 300 élèves ont pu bénéficier et participer à cette expérience originale.Le dimanche 04 juillet 2021, sur le site de la Pointe du Raz, chaque groupe d’enfants a restitué son parcours d’ateliers artistiques en présentant des créations sonores, corporelles ou d’arts plastiques.

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L’exposition “Félix Le Garrec, 60 ans de photographies” a été officiellement inaugurée au Vieux Phare, le 03 juillet 2021, en la présence de plusieurs élus, des proches et amis de la famille de Nicole et Félix Le Garrec. L’auteur et historien Jakez Cornou, les musiciens Dan ar Braz et Melaine Favennec étaient parmi les invités.

Depuis le 12 juin 2021 et jusqu’au 03 octobre 2021, le Vieux Phare propose une rétrospective du travail photographique de Félix Le Garrec. La municipalité, en partenariat avec l’association des Amis de Nicole et Félix Le Garrec, a sélectionné des clichés peu connus et pris partout dans le monde. « La photographie m’a permis de découvrir des lieux et des personnes formidables. » À 90 ans passés, le photographe bigouden Félix Le Garrec a toujours l’œil vif, le regard malicieux. Beaucoup connaissent ses clichés de bigoudènes ou des luttes sociales en Bretagne, son travail à Plogoff lors du refus du projet de centrale nucléaire… Mais l’on voit moins ses clichés de cavaliers argentins, de marché du Vietnam, d’enfants du Mali et de Roumanie…

La mairie Gwenola Le Troadec a souhaité leur adresser ces quelques mots. “La chance, la joie, l’émotion que j’ai à m’adresser à vous. La chance que nous avons de vivre ici au Pays Bigouden, pays de notre histoire, de vos photos. Pays où vous êtes toujours revenus après vos voyages et des photos en témoignent aussi. Chance de vous connaître et de connaître une vie, la rencontre de deux êtres, d’une destinée commune. Le charme d’une lumière, d’un même amour pour l’homme, ses combats, son quotidien, son intimité. Cette vision est celle d’un couple qui semble s’inspirer mutuellement et qui aujourd’hui, maintenant, nous inspire”.

Félix Le Garrec, de la photographie au cinéma

Natif de Plonéour Lanvern, Félix Le Garrec découvre la photographie à l’âge de 19 ans. Après une expérience à Paris, il revient au pays et s’installe comme photographe dans sa commune en 1956. Les propositions et les projets ne manquent pas : rassemblements familiaux, portraits, scènes de la vie quotidienne, paysages, photos de Bigoudènes, de marins-pêcheurs, d’enfants, d’artisans, de tziganes, mais aussi des photos de mode, illustrations de pochettes de disques, agrandissements géants, projections pendant des concerts (Alan Stivell à l’Olympia par exemple)… De 1966 à 1970, Le Télégramme lui ouvre ses colonnes en publiant chaque semaine l’une de ses photos en Une.

En 1958, à l’occasion du tournage “Les Naufrageurs” dans le Finistère, film réalisé par Charles Brabant, les acteurs découvrent par hasard les clichés pris par Félix Le Garrec. Le producteur Gwénaël Bolloré sollicite Félix Le Garrec qui découvre ainsi le milieu du cinéma. En 1968, Jacques Perrin, producteur de Z, le film de Costa-Gavras, de passage à Plonéour, le recrute comme photographe de plateau sur ce film tourné à Alger.

En 1969, Nicole et Félix Le Garrec quittent leur magasin de photos pour se consacrer pleinement à leurs activités audiovisuelles. En 1970, le couple fonde, avec le cinéaste René Vautier, l’UPCB ‘l’Unité de production cinématographique Bretagne), pour produire et réaliser des longs-métrages en Bretagne.

En 1980, le film “Plogoff, des pierres contre des fusils” sur le mouvement d’opposition au projet de centrale nucléaire à Plogoff marque sa carrière. 

Infos pratiques

Horaires d’ouverture : juillet-août, tous les jours de 10h30 à 18h30. En septembre et jusqu’au 03 octobre 2021, tous les jours (sauf mardi) de 14h00 à 18h00 

Tarifs : adulte : 3,20€ / réduit : 1,70€ (7-18 ans, étudiant, demandeur d’emploi)

Photo à la une : Jakez Cornou, Melaine Favennec, Félix et Nicole Le Garrec, Dan ar Braz

06 07 21 37 34
phares@penmarch.fr

Le développement de la mobilité douce est un engagement de la municipalité appliquée dès la première année de mandat avec la mise en place de 50 km de circuits vélo. Le samedi 03 juillet 2021, les élus et les agents municipaux ont invité les Penmarc’hais à une sortie vélo pour découvrir les nouvelles liaisons cyclables sur la commune. Une trentaine de Penmarc’hais ont répondu favorablement à cette invitation.

Mobilisée pour la transition écologique et la promotion des déplacements à vélo, la maire Gwenola Le Troadec n’a pas hésité à intégrer le groupe. Au départ de la mairie, deux balades étaient proposées, l’une s’orientant vers la plage du Ster et le port de Kérity. Pour l’autre, les cyclistes ont pris la direction de Saint-Pierre.

Pour rappel, ces nouveaux itinéraires permettent de relier Penmarc’h du nord au sud et d’est en ouest, et ainsi de parcourir une distance de 50 km sur la commune. Une continuité est assurée entre chaque itinéraire. Ces circuits ont été imaginés pour faciliter les déplacements de tous les usagers. Ils empruntent les portions de routes les moins fréquentées par les automobilistes, la sécurité est le point d’orgue.

Les itinéraires sont identifiés par une bigoudène à vélo déclinée en six coloris, matérialisée et identifiée par 140 poteaux. Chaque parcours est identifié par un code couleur, visible à chaque croisement. Un QR code (flash code) a été intégré à chaque poteau, il permet aux cyclistes de se géolocaliser et de retrouver facilement son chemin.

Soucieuse de la qualité du réseau cyclable et de la sécurité des déplacements sur le territoire, élus et agents municipaux travaillent ensemble. Les mobilités douces sont une promesse de campagne électorale.

La carte des liaisons cyclables à télécharger sur les smartphones, en cliquant ici.

Photo à la une : la maire Gwenola Le Troadec lors de la sortie à vélo.

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En juillet-août 2021, deux animateurs sportifs ont été recrutés par la mairie. Thibaut, spécialisé dans l’action physique et santé, et Lucas, licencié Staps (Sciences et techniques des activités physiques et sportives) organiseront des animations sportives pendant l’été. L’idée est de proposer des activités gratuites à tous les publics. Le territoire penmarc’hais est vaste et les structures sportives sont nombreuses et de qualité. Selon un programme établi ou à la demande, les activités pourront être organisées à la plage, dans les infrastructures municipales comme au stade Jos Péron ou sur d’autres sites. Pour rappel, le stade municipal Jos Péron est doté d’une piste de course, d’un terrain de foot, de couts de tennis intérieurs et extérieurs, d’un dojo, d’un skate-park… Les terrains de jeux sont vastes et les activités ne manqueront pas.

Par le recrutement de ces deux saisonniers, la mairie de Penmarc’h propose un nouveau service et diversifie les offres sur le territoire. Cette initiative permet de promouvoir et valoriser les structures municipales auprès des Penmarc’hais.

Photo à la une, Le Télégramme : Estelle Guichaoua, ajointe chargée de la jeunesse, du CMJ, des activités sportives et numériques entourée par les animateurs sportifs Thibaut et Lucas.

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307 personnes ont répondu au questionnaire vélo dans le cadre de la consultation citoyenne proposée au début de cette année. Une trentaine de Penmarc’hais souhaite intégrer le comité de pilotage. Six nouveaux itinéraires cyclables résultent de cette réflexion. Les élus et les agents municipaux s’associent à ce travail réalisé en régie. Retour sur expérience.

Le samedi 03 juillet 2021, tous les Penmarc’hais sont invités à découvrir les nouvelles six liaisons cyclables sur la commune. Nous vous donnons rendez-vous à 14h30 dans le jardin de la mairie.

Depuis l’été dernier, la fréquentation des cyclistes a considérablement augmenté sur la commune et la configuration du territoire est propice aux déplacements doux. Pour répondre à une demande en constante évolution des habitants et des estivants, un groupe de travail, constitué d’élus et d’agents municipaux, a souhaité étendre le réseau existant. Six boucles ont été répertoriées en privilégiant les axes les moins fréquentés par les automobilistes et en retenant les itinéraires les plus agréables, ils représentent environ une cinquantaine de kilomètres. Ces liaisons passent à proximité des sites touristiques et des marais, elles permettent d’associer les déplacements aux découvertes environnementales et patrimoniales.

Six itinéraires ont été retenus et permettent de relier la commune du nord au sud et de l’est à l’ouest. Ils ont pour but de faciliter tous les déplacements quotidiens sur la commune : pour se rendre au travail, aller à l’école, faire ses courses ou tout simplement pour se balader… Nous avons souhaité vous proposer des itinéraires cyclables structurés et de qualité sur la commune où la pratique du vélo s’effectue en toute sécurité ; d’assurer une continuité entre les itinéraires ; de renforcer l’aspect attractif du vélo, un mode de déplacement doux et écologique ; de favoriser la découverte de la commune et des sites touristiques.

Les itinéraires sont identifiés par une bigoudène à vélo déclinée en six coloris, matérialisée et identifiée par 140 poteaux. Chaque parcours est identifié par un code couleur, visible à chaque croisement. Un QR code (flash code) a été intégré à chaque poteau, il permet aux cyclistes de se géolocaliser et de retrouver facilement son chemin.

Pour répondre à demande des usagers et des professionnels de la commune, des parcs à vélo, réalisés par les services techniques, ont été aménagés à proximité des commerces et des sites touristiques.

Une étude est en cours pour proposer des cheminements exclusivement piétonniers, un travail de réflexion sur la cohabitation entre les usagers, qu’ils soient cyclistes, piétons et automobilistes. La sécurité dans tous les déplacements est le point d’orgue.

Vous êtes tous invités à découvrir les nouveaux circuits. Penmarc’h, tous à vélo, samedi 03 juillet à 14h30 au départ du jardin de la mairie.

Téléchargez la carte des liaisons cyclables à Penmarc’h en cliquant ici.

Photo à la une : Pascal Cariou et Yannick Floc’hlay, deux des agents qui ont participé à la création des nouveaux itinéraires ; Gwenola Le Troadec, maire et Gilles Mercier, conseiller délégué en charge de l’environnement, de la végétalisation et des déplacements doux.

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Le samedi 26 juin 2021, les élus et chefs de service ont accueilli officiellement les saisonniers. Une cinquantaine de jeunes pour la plupart a été recrutée pour renforcer les effectifs des structures enfance-jeunesse, des services techniques, des sites touristiques et de loisirs. Chaque année, la commune réaffirme ainsi sa volonté d’ouvrir la porte de l’emploi saisonnier aux jeunes afin de leur offrir une première expérience professionnelle. Ces embauches sont nécessaires au bon fonctionnement des services publics pour une commune touristique telle que Penmarc’h qui, rappelons-le, atteint au plus fort de la saison les 17 000 habitants. « Vous serez la vitrine de notre commune qui triple sa population en été. On compte sur vous », a encouragé la maire Gwenola Le Troadec.

Au cours de cette rencontre, la maire et les adjoints leur ont présenté les droits et obligations liés aux emplois publics, mais aussi les différentes prestations offertes aux résidents permanents et occasionnels de Penmarc’h. Afin de les aider dans leurs missions, un guide du saisonnier leur a été remis. Belle saison à tous.

Photo à la une Le Télégramme : la maire Gwenola Le Troadec, les élus, les responsables de service et les saisonniers.

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Le second tour des élections départementales et régionales s’est tenu le dimanche 27 juin 2021, découvrez les résultats pour Penmarc’h.

Élections départementales 2021 – 2nd tour

Élections régionales 2021 – 2nd tour

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