Théo Marais et les employés de Plastimer

Le 15 septembre, le chantier naval Plastimer a procédé à la mise à l’eau d’un coquillier de 11,40 m, construit dans leur atelier. Aux commandes du bateau, Théo Marais, âgé de 25 ans, qui navigue depuis ses 15 ans avec son père. Chez les Marais, la pêche est une affaire de famille, une vocation qui se transmet depuis plusieurs générations.

Très vite, ce un jeune patron pêcheur aspire à avoir son propre bateau. Il démarche plusieurs chantiers navals en France et un en Irlande. Il retient l’entreprise Plastimer, basée à Saint-Guénolé, pour ses compétences en architecture navale, son savoir-faire reconnu et ses précieux conseils. “Nos clients viennent pour le savoir-faire de Plastimer” commente Jean-Bernard Furstenberger, le responsable de l’entreprise.

Le P’tit Piak, immatriculé à Cherbourg, est un navire polyvalent armé à la pêche à la coquille Saint-Jacques, aux amandes et crustacés. Il a été construit sur un plan traditionnel avec une coque élancée et bénéficie des technologies modernes avec un tableau de commande tactile électrique pour faciliter toutes les manœuvres de logistique. Le bateau est propulsé par un moteur de 249 Kw. Le patron et deux matelots composent l’équipage.

Dans quelques jours, après les derniers réglages, le P’tit Piak rejoindra son port d’attache basé à Granville, dans la Manche. Nous adressons toutes nos félicitations et nos encouragements à Théo et à son équipe.

Plastimer

L’entreprise familiale, créée en 1986 et basée au port de Saint-Guénolé, construit des navires polyester pour la pêche côtière et effectue des travaux de maintenance navale, de transformation et de modernisation. Plastimer est labellisée “Entreprise du Patrimoine Vivant” (décision ministérielle de novembre 2018), marque de reconnaissance de l’État mise en place pour distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence. Tous les bateaux sont réalisés sur-mesure en concertation avec le patron pêcheur. L’entreprise dispose de son propre bureau d’étude. Jean-Bernard Fürstenberger est dessinateur industriel et son épouse Monique est architecte navale.

Le chantier emploie 4 constructeurs navals permanents, avec pour moyenne d’âge 28 ans, qui maitrisent les savoir-faire de mise en œuvre des matériaux bois, des matériaux composites polyester, et qui ont une culture forte de la construction navale. Depuis sa création, depuis près de quarante ans, l’entreprise a formé et à travailler avec plus de 80 personnes.

Photo à la une : Théo Marais, le jeune patron pêcheur devant son bateau de pêche P’tit Piak

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Le 15 septembre, trente-neuf élèves des classes de CE2, CM1 et CM2 de l’école Auguste Dupouy ont récolté 550 kg de pommes de terre au potager municipal. “Cette initiative permet de sensibiliser les enfants au développement des semences jusqu’à la récolte, de les informer sur la saisonnalité des fruits et des légumes, des avantages que procure d’avoir un potager à la maison…” commente Gilles Mercier, conseiller délégué en charge de l’environnement. “Ce potager et la serre sont une volonté de la municipalité, les objectifs visent à produire localement et ainsi privilégier les circuits courts, de fournir en quantité suffisante les structures municipales comme le restaurant scolaire, de transmettre des valeurs…” L’année dernière, 1,4 tonne de légumes a été récoltée, un résultat très encourageant.

Du potager à l’assiette, il n’y a qu’un pas

Les récoltes alimentent les besoins du restaurant scolaire, de l’EHPAD de Ménez Kergoff (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) et du CCAS (Centre communal d’action sociale). Les menus sont élaborés en fonction des saisons et des quantités produites. Cette année, 750 kg de pommes de terre ont été ramassés dont 550 kg avec les enfants de l’école Auguste Dupouy. Ce sont aussi plus de 300 kg de tomates, 300 kg de courgettes, plus de 250 salades sur la saison. Une partie de ces récoltes est stockée et sera consommée pendant l’hiver. L’idée est de privilégier les circuits courts afin de limiter les intermédiaires, de maîtriser la provenance des produits… Une alimentation plus saine et raisonnée sans pesticides et meilleure pour la santé avec des produits locaux 100% naturels. Autres avantages, ce fonctionnement permet de réaliser des économies et de réduire l’emprunte carbone sur l’environnement.

Un intérêt pédagogique

Les enfants, très enthousiastes, ont apprécié de ramasser les pommes de terre. Ils prendront beaucoup de plaisir lors des déjeuners et se rappelleront de ce moment de convivialité. Ils peuvent être fiers d’avoir contribué à cette chaîne alimentaire. Nous avons recueilli quelques avis : “j’aime bien creuser et récolter”, “on va manger les pommes de terre que nous avons ramassées” commentent Enzo et Louis. “L’idée est de créer un potager à la maison” argumente un autre enfant. L’idée est de transmettre les notions et les valeurs de la terre dès le plus jeune âge. Damien, employé municipal aux espaces verts et papa d’une fille de 4 ans nous explique “qu’il est intéressant de partager cette expérience avec les enfants, de leur faire découvrir la plantation et la croissance d’un plant, puis de récolter et manger la production ensemble”. Consommer des légumes que nous avons vu grandir donne plus de sens à notre alimentation.

Photo à la une : les élèves de l’école Auguste Dupouy et les agents du pôle des espaces verts ramassent les pommes de terre au potager municipal.

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Le 10 septembre dernier, le groupe Orphée a célébré son 50ème anniversaire à la salle Cap Caval. Pour la circonstance, les “Stones bigoudens” ont invité leurs amis de Little Délire et  Shoes’ Daim. Plus de 400 personnes étaient présentes pour cette soirée organisée par les groupes avec l’accompagnement de la ville de Penmarc’h. L’atmosphère festive, décontractée, détendue a ravi le public. Des retrouvailles sincères pour toute une génération, une véritable communion !

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Le compostage est un procédé qui permet d’apporter de l’engrais naturel aux potagers, aux plantes du jardin et d’intérieur. C’est un moyen pour recycler facilement de nombreux restes en cuisine, cependant il y a certaines choses à ne pas mettre dedans. Nous faisons le point.

Quels sont les déchets du quotidien compostables ? Vous pouvez intégrer sans problème les restes alimentaires, notamment les épluchures des fruits et des légumes, les coquilles d’œuf concassées, les sachets de thé utilisés, le marc de café, mais aussi les déchets verts : les feuilles mortes, les tontes de gazon, les tailles de haies, les fleurs fanées, les fanes du potager… ! Certaines choses sont à éviter, tels la cendre, les matières synthétiques, le plastique, les métaux, le verre, les litières d’animaux, la poussière de sacs d’aspirateurs, la terre, le sable, les tissus et autres textiles, les restes de poissons et de viandes.

Le compostage est donc à la portée de tous, de petits réflexes qui ne perturbent par le quotidien. Cette pratique s’avère économique et bonne pour l’environnement, elle permet d’éviter l’achat et l’utilisation d’engrais chimiques, de diminuer la quantité de déchets ménagers, environ 100 kg par personne et par an (source de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie – ADEME) et de limiter ainsi les coûts liés à l’élimination des déchets.

Vous n’êtes pas encore équipés d’un composteur ? Pour les habitants du Pays Bigouden Sud, il est possible d’acquérir le bac à compost en contactant la CCPBS au 02 98 87 80 58. Le composteur a de nombreux atouts, il conserve l’humidité, accélère le processus de compostage, évite les nuisances dues aux animaux, comporte un système d’ouverture pour extraire le compost, facilite la montée en température.

Autre possibilité, il est tout à fait envisageable de fabriquer son composteur. Consultez la fiche technique en cliquant ici.

Téléchargez la fiche info pratique du compostage en cliquant ici.

Dans le cadre de la semaine européenne de la mobilité, plusieurs ateliers sont proposés ce vendredi matin sur la place du marché à Saint-Guénolé. Les stands d’information vous informent sur les solutions de mobilité pour se rendre au travail, les nouvelles possibilités de déplacement comme le vélo cargo pour emmener ses enfants à l’école, le tricycle pour une meilleure stabilité, le vélo électrique qui encourage et facilite tous les déplacements… Venez les tester gratuitement, vous êtes tous invités. Des conseils en matière de prévention et la sécurité sont abordés. Les animateurs rappellent les bons gestes à adopter et les équipements recommandés pour rouler en toute sécurité.

Sur place également, un atelier mécanique pour bénéficier de conseils et effectuer une petite maintenance comme réparer une roue crevée, entretenir son vélo… pour gagner en autonomie. Une association propose également un marquage antivol… Le territoire bigouden est relativement plat et permet aisément les déplacements à vélo, vous trouverez des propositions d’itinéraires de cheminements doux. Rendez-vous ce vendredi 16 septembre jusqu’à 12h30 au stand sur la place du marché de Saint-Guénolé. N’oubliez pas votre vélo !

Photo à la une : Gilles Mercier, conseiller délégué municipal en charge des déplacements doux est entouré des associations partenaires : Mobil Emploi, Kernavélo et Sur un air de terre.

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La mairie de Penmarc’h et l’Amicale Laïque, en partenariat avec la ligue de l’enseignement et la CAF du Finistère, organisent une rencontre sur la thématique des écrans sans être à cran. Ils vous donnent rendez-vous ce vendredi 23 septembre à partir de 18h à la Maison Pour Tous, au bourg de Penmarc’h. Ils vous proposent de découvrir internet et ses usages de manière ludique par l’intermédiaire d’un jeu de plateau. La soirée sera animée par Régine Roué, médiatrice numérique de la ligue de l’enseignement. Accessible à tous et gratuit.

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Du vendredi 16 septembre au jeudi 22 septembre 2022, c’est la semaine européenne de la mobilité ! Cet événement est organisé dans de nombreuses communes et villes européennes. À Penmarc’h, nous vous donnons rendez-vous ce vendredi 16 septembre de 9h à 12h30, sur la place du marché à Saint-Guénolé. Plusieurs ateliers sont organisés, ils sont gratuits et accessibles à tous.

En cette période de transition énergétique, l’objectif est d’inciter les citoyens à privilégier les mobilités douces (transports publics, covoiturage, vélo…), des modes de déplacement plus respectueux de l’environnement et bons pour la santé. “Pour de meilleures connexions, combinez les mobilités !” est le thème retenu pour l’édition 2022.

Un événement à Saint-Guénolé, ce vendredi 16 septembre

La CCPBS (Communauté de Communes du Pays Bigouden Sud), le SIOCA (Syndicat Intercommunautaire Ouest Cornouaille Aménagement) et un groupement d’associations (cf. liste dans les animations), en partenariat avec les collectivités territoriales, organisent des ateliers ludiques et pédagogiques ouverts à tous sur plusieurs communes du Pays Bigouden Sud. Le premier rendez-vous est programmé à Penmarc’h, ce vendredi 16 septembre, à l’occasion du marché de Saint-Guénolé. Ces ateliers visent à sensibiliser à la sécurité routière, à se familiariser avec le vélo et à en faire son mode de déplacement, les aménagements conçus sur le territoire, les bienfaits pour la santé et le bien-être, les économies réalisées…

Rendez-vous ce vendredi 16 septembre de 9h à 12h30, au marché de Saint-Guénolé. Les thématiques qui seront abordées :

• apprendre à réparer son vélo avec Sur un air de terre et Kernavélo.
• se remettre en selle pour se familiariser avec le vélo, le vélo à assistance électrique, le vélo cargo, le triporteur… avec Kernavélo et Sur un air de terre.
• sensibiliser à la pratique du vélo (aménagements, sécurité, etc.). Stand de Kernavélo et Sur un air de terre.
• marquer son vélo pour lutter contre le vol avec Kernavélo et Sur un air de terre.
• s’informer sur les mobilités. Plateforme “Mobil Inclusion Déplacements”, accompagnement de projets, financements, sécurité… avec Mobil emploi.

D’autres ateliers sont programmés dans le Pays Bigouden : le 17/09 à Combrit Sainte-Marine, à l’espace sportif Croas Ver ; le 17/09 à Saint-Jean-Trolimon, place de la mairie ; le 20/09, à Loctudy, place de la mairie ; le 21/09 Pont-l’Abbé et Plonéour Lanvern… Retrouvez tous les détails sur le site internet de la CCPBS en cliquant ici. Contact :Justine Fontaine à la CCPBS au 02 98 87 14 42 et par mail en cliquant ici.

À Penmarc’h, priorité aux déplacements doux et à la sécurité

Depuis le début de son mandat, la municipalité, mobilisée par la transition écologique, encourage tous les déplacements doux. En 2021, une réflexion commune avec les agents municipaux, a permis de créer six nouveaux itinéraires sur la commune, sur une  distance totale de 50 km. Ces circuits empruntent les portions de routes les moins fréquentées par les automobilistes, le point d’orgue reste la sécurité. Ces itinéraires ont été imaginés pour relier la commune du nord au sud et d’est en ouest pour faciliter les déplacements de tous les usagers. Téléchargez la carte des déplacements doux à Penmarc’h en cliquant ici.

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Un bâtiment situé au numéro 18 de la rue du port de Kérity menace de s’écrouler. Il fait l’objet d’une mise en péril, la mairie a pris un arrêté prévoyant sa déconstruction. Les travaux débuteront ce lundi 12 septembre. La première phase consistera au désamiantage pour une durée d’environ un mois. La déconstruction viendra juste après, suivie d’un nettoyage du site pour deux semaines.

La rue du port sera fermée à la circulation pendant la semaine de démolition. L’accès sera préservé pour les riverains depuis le port de Kérity. Les travaux seront réalisés par l’entreprise Kerleroux.

Photo à la une : le bâtiment situé dans la rue du port, à proximité de la rue Duguesclin.