Le virus de l’influenza aviaire circule toujours chez les oiseaux marins. Si vous trouvez des oiseaux marins morts, nous vous rappelons de ne pas les toucher et de contacter les services techniques municipaux au 02 98 58 89 61.

Consultez les recommandations en cliquant ici.

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Renforcement des mesures de biodiversité pour lutter contre la propagation de l’épidémie dans les basses-cours

Devant la recrudescence de cas d’influenza aviaire hautement pathogène en Europe, la Préfecture du Finistère rappelle les mesures à respecter pour tous les détenteurs de volailles et d’oiseaux.

Téléchargez la demande de déclaration d’oiseaux dans le cadre d’un foyer de maladie aviaire en cliquant ici.

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Depuis le 03 octobre 2022, les bacs à ordures ménagères (couvercles verts) sont collectés une fois toutes les deux semaines. Ce rythme permet d’optimiser les tournées et maximiser les tonnages collectés (éviter que les camions ne finissent leurs tournées à moitié vide). Les camions tourneront moins souvent ce qui a pour effet de réduire l’impact carbone de la CCPBS (Communauté de Communes du Pays Bigouden Sud).

Depuis de nombreuses années, grâce aux efforts des Bigoudens, à la suite de l’extension des consignes de tri, les tonnages des ordures ménagères baissent sensiblement. Face aux faibles tonnages collectés lors des tournées d’hiver, les élus communautaires ont souhaité optimiser les collectes en passant une fois toutes les deux semaines au lieu de toutes les semaines. L’objectif est de rationaliser les collectes, de faire moins rouler les camions afin de participer à la réduction des gaz à effet de serre.

Ce rythme s’applique uniquement en dehors de l’été. À cette période, les tonnages sont suffisamment faibles pour passer toutes les deux semaines et les températures basses permettent de limiter les odeurs dues à la fermentation. En dehors de cette période, au printemps et en été, les collectes des ordures ménagères sont assurées toutes les semaines. Ce rythme a été validé par les élus pour trois années (2020-2023) et les jours de collecte sont identiques à ceux de l’hiver dernier.

Comment réduire les déchets ménagers, plusieurs solutions s’offrent à vous :

• Poursuivre le geste du tri. De nombreux déchets recyclables sont encore trouvés dans le bac à ordures ménagères. En cas de doute la CCPBS met à disposition des “mémo tri” au 02 98 87 80 58.
• Composter les déchets fermentescibles. Pour rappel, des composteurs subventionnés à hauteur de 50% sont vendus par la CCPBS. Renseignements au 02 98 87 80 58.
• Aller aux colonnes d’apport volontaire, uniquement si votre bac est plein.

02 98 87 80 58
www.ccpbs.fr

L’entreprise penmarc’haise Ytek, spécialisée dans la vente de combustibles, nous informe qu’elle est victime d’un site internet frauduleux créé à son insu dont l’adresse est ytek-energies.com. Il s’agit en réalité d’une arnaque à l’encontre de ses clients. L’entreprise vous demande de ne pas procéder à un paiement en ligne et  de ne pas communiquer vos coordonnées. Soyez vigilants !

Mairie de Penmarc’h
02 98 58 60 19

Cliquez sur le visuel pour l’agrandir. Autres conseils pour faire des économies.

Nous vous proposons quelques conseils pour réduire votre consommation en électricité, réaliser des économies et augmenter la durée de vie de vos appareils. C’est également un bon geste pour préserver notre planète. Nous pouvons tous y arriver !
𝗢𝗻 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗴𝗲̀𝗹𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀. En décongelant les aliments, votre appareil consommera moins d’électricité et il conservera sa bonne température ! 𝗢𝗻 𝗱𝗲́𝗴𝗶𝘃𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗰𝗼𝗻𝗴𝗲́𝗹𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿. La consommation d’électricité d’un appareil givré peut rapidement augmenter de plus de 30% ! 𝗢𝗻 𝗿𝗲𝗺𝗽𝗹𝗮𝗰𝗲 𝘀𝗲𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗮𝗿𝗲𝗶𝗹𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗮𝗻𝗻𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗲́𝗹𝗲𝗰𝘁𝗿𝗼𝗺𝗲́𝗻𝗮𝗴𝗲𝗿 𝗳𝗮𝗶𝗯𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻. L’idée consiste à renouveler son électroménager usager par des appareils moins gourmands en énergie. Avant de les jeter, pensez à la réparation. 𝗢𝗻 𝘃𝗶𝗱𝗲 𝘀𝗮 𝗯𝗼𝗶̂𝘁𝗲 𝗺𝗮𝗶𝗹 𝗿𝗲́𝗴𝘂𝗹𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁. En triant ses anciens mails, on évite le stockage inutile et cette simple action permet d’économiser beaucoup d’énergie. 𝗢𝗻 𝗱𝗲́𝗯𝗿𝗮𝗻𝗰𝗵𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝘂𝗿𝘀. On ne le sait pas forcément, mais un chargeur branché, même sans appareil au bout, consomme de l’électricité. 𝗢𝗻 𝗺𝗲𝘁 𝘂𝗻 𝗽𝘂𝗹𝗹. Le fait de mettre un simple pull permet de retarder l’allumage du chauffage et donc d’économiser de l’électricité. Durant la période hivernale, réduire son chauffage d’un degré permet de réaliser des économies. 𝗨𝗻 𝘀𝗲́𝗰𝗵𝗼𝗶𝗿 𝘀𝗮𝗰𝗵𝗮𝗻𝘁 𝘀𝗲́𝗰𝗵𝗲𝗿. Un sèche-linge consomme deux fois plus d’électricité que le lave-linge. Quand les conditions météorologiques le permettent, il est aussi simple et naturel d’étendre son linge en extérieur. La qualité des vêtements est préservée. 𝗢𝗻 𝗲𝘀𝘁 𝘃𝗶𝗴𝗶𝗹𝗮𝗻𝘁 𝗮𝘂𝘅 𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗮𝗿𝗲𝗶𝗹𝘀 𝗺𝘂𝗹𝘁𝗶𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮𝘀. Chaque appareil en veille consomme de l’électricité. Éteindre son ordinateur et son écran lorsqu’on ne les utilise pas permet de réduire sa facture… C’est à la portée de tous, c’est à vous de jouer !

Mairie de Penmarc’h
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Du 03 au 09 octobre, les CCAS de Penmarc’h, Plobannalec Lesconil, Treffiagat Lechiagat, Loctudy et du Guilvinec participent à la Semaine bleue, un événement national qui se déroule chaque année en octobre. Sept journées d’animations gratuites ont été imaginées, accessibles dès 65 ans. Plusieurs idées de sorties : concert, visites guidées, conférence, séance de cinéma, thé dansant, atelier avec des enfants… La programmation est éclectique et de qualité. Le nombre de places est limité, réservations indispensables auprès des communes organisatrices.

Les animations de la semaine

Concert clarinette et alto par l’Orchestre National de Bretagne. Lundi 03 octobre à 15h, salle Cap Caval à Penmarc’h (sans inscription).
Présenté par Sonia Borhani à la clarinette et Clémentine Cômes à l’alto. Un répertoire étoffé et varié allant du classique au blues.

Visite du chantier naval Le Cœur. Mardi 04 octobre, à Lesconil. Inscription au 02 98 82 20 22
Le chantier naval Le Cœur a été transformé en lieu de présentation du patrimoine du port de Lesconil, 40 ans après sa fermeture. À découvrir de très nombreux outils et objets anciens ainsi que des documents iconographiques donnés par les habitants de Lesconil. Le tout est exposé dans le chantier naval reconstitué.

Conférence sur le thème de la vie affective des plus de 60 ans. Mardi 04 octobre à 14h, salle Cap Caval à Penmarc’h. Inscription au 02 98 58 55 69
L’association penmarc’haise Santé bigoudène organise une rencontre sur la thématique de la vie affective des plus de 60 ans. La conférence sera animée par le professeur lyonnais Gérard Ribes, psychiatre, sexologue et gérontologue.

Atelier intergénérationnel autour de la construction d’un hôtel à insectes. Mercredi 05 octobre de 10h à 12h, à Treffiagat. Inscription au 02 98 58 14 47
L’hôtel à insectes est un dispositif qui vise à faciliter la survie des insectes et à leu développer un habitat, notamment dans des écosystèmes où la pollinisation et la biodiversité sont recherchées, à l’exemple du jardin potager, du verger et de la construction haute qualité environnementale. Une activité participative avec les enfants.

Visite du musée de la Conserverie Le Gall. Jeudi 06 octobre à 10h30, 14h30 et 15h30, à Loctudy. Inscription au 02 98 98 82 99
La conserverie de poisson Alexis Le Gall a été construite en 1901 à Loctudy. En activité jusqu’en 1954, elle faisait partie des nombreuses usines de conserves qui produisaient en Cornouaille. Témoin authentique de cette épopée industrielle, la conserverie est l’unique usine en France et probablement en Europe (avec Stavanger en Norvège) maintenue en l’état d’origine (immeuble, matériel, collection). Les bâtiments et les machines sont classés aux Monuments Historiques en 2016.

Initiation à la marche nordique bien-être proposée par Claire Pasqué, animatrice de l’activité. Jeudi 06 octobre à 14h à Kérity pour les habitants de Penmarc’h. Inscription au 02 98 58 44 45 (avant le mercredi 05 octobre, nombre de places limité). La marche nordique redonne du souffle et permet de travailler 80% des muscles du corps, tout en douceur. C’est le sport de plein air idéal pour retrouver la forme et se tonifier.

Invitation au cinéma Une Belle course. Vendredi 07 octobre à 14h30, au cinéma Eckmühl à Kérity. Inscription au CCAS de Penmarc’h au 02 98 58 44 45 (jusqu’au 06 octobre). Film sorti le 21 septembre 2022, avec Line Renaud et Dany Boon. Madeleine, 92 ans, appelle un taxi pour rejoindre la maison de retraite où elle doit vivre désormais. Elle demande à Charles, un chauffeur un peu désabusé, de passer par les lieux qui ont compté dans sa vie, pour les revoir une dernière fois. Peu à peu, au détour des rues de Paris, surgit un passé hors du commun qui bouleverse Charles. Il y a des voyages en taxi qui peuvent changer une vie… 

Thé dansant. Dimanche 09 octobre de 14h30 à 17h30, au Guilvinec (sans inscription).
Thé dansant animé par Christian Le Roy et la chanteuse Malou, avec la participation du Conseil Municipal des Jeunes.

À Penmarc’h, la semaine bleue se clôturera le samedi 08 octobre avec le repas des aînés, accessible aux habitants de la commune à partir de 73 ans qui se sont déjà inscrits auprès du CCAS.

Photo à la une. Les représentants des CCAS : Cécile Lamotte pour Treffiagat Lechiagat, Laure Volant pour Le Guilvinec, Sandrine Hélou pour Plobannalec Lesconil, Fabienne Le Gars pour Penmarc’h, Anne Pronost pour Loctudy et Morane Gouyen de l’association Santé Bigoudène

Centre Communal d’Action Sociale
02 98 58 44 45

Théo Marais et les employés de Plastimer

Le 15 septembre, le chantier naval Plastimer a procédé à la mise à l’eau d’un coquillier de 11,40 m, construit dans leur atelier. Aux commandes du bateau, Théo Marais, âgé de 25 ans, qui navigue depuis ses 15 ans avec son père. Chez les Marais, la pêche est une affaire de famille, une vocation qui se transmet depuis plusieurs générations.

Très vite, ce un jeune patron pêcheur aspire à avoir son propre bateau. Il démarche plusieurs chantiers navals en France et un en Irlande. Il retient l’entreprise Plastimer, basée à Saint-Guénolé, pour ses compétences en architecture navale, son savoir-faire reconnu et ses précieux conseils. “Nos clients viennent pour le savoir-faire de Plastimer” commente Jean-Bernard Furstenberger, le responsable de l’entreprise.

Le P’tit Piak, immatriculé à Cherbourg, est un navire polyvalent armé à la pêche à la coquille Saint-Jacques, aux amandes et crustacés. Il a été construit sur un plan traditionnel avec une coque élancée et bénéficie des technologies modernes avec un tableau de commande tactile électrique pour faciliter toutes les manœuvres de logistique. Le bateau est propulsé par un moteur de 249 Kw. Le patron et deux matelots composent l’équipage.

Dans quelques jours, après les derniers réglages, le P’tit Piak rejoindra son port d’attache basé à Granville, dans la Manche. Nous adressons toutes nos félicitations et nos encouragements à Théo et à son équipe.

Plastimer

L’entreprise familiale, créée en 1986 et basée au port de Saint-Guénolé, construit des navires polyester pour la pêche côtière et effectue des travaux de maintenance navale, de transformation et de modernisation. Plastimer est labellisée “Entreprise du Patrimoine Vivant” (décision ministérielle de novembre 2018), marque de reconnaissance de l’État mise en place pour distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence. Tous les bateaux sont réalisés sur-mesure en concertation avec le patron pêcheur. L’entreprise dispose de son propre bureau d’étude. Jean-Bernard Fürstenberger est dessinateur industriel et son épouse Monique est architecte navale.

Le chantier emploie 4 constructeurs navals permanents, avec pour moyenne d’âge 28 ans, qui maitrisent les savoir-faire de mise en œuvre des matériaux bois, des matériaux composites polyester, et qui ont une culture forte de la construction navale. Depuis sa création, depuis près de quarante ans, l’entreprise a formé et à travailler avec plus de 80 personnes.

Photo à la une : Théo Marais, le jeune patron pêcheur devant son bateau de pêche P’tit Piak

Mairie de Penmarc’h
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Le 15 septembre, trente-neuf élèves des classes de CE2, CM1 et CM2 de l’école Auguste Dupouy ont récolté 550 kg de pommes de terre au potager municipal. “Cette initiative permet de sensibiliser les enfants au développement des semences jusqu’à la récolte, de les informer sur la saisonnalité des fruits et des légumes, des avantages que procure d’avoir un potager à la maison…” commente Gilles Mercier, conseiller délégué en charge de l’environnement. “Ce potager et la serre sont une volonté de la municipalité, les objectifs visent à produire localement et ainsi privilégier les circuits courts, de fournir en quantité suffisante les structures municipales comme le restaurant scolaire, de transmettre des valeurs…” L’année dernière, 1,4 tonne de légumes a été récoltée, un résultat très encourageant.

Du potager à l’assiette, il n’y a qu’un pas

Les récoltes alimentent les besoins du restaurant scolaire, de l’EHPAD de Ménez Kergoff (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) et du CCAS (Centre communal d’action sociale). Les menus sont élaborés en fonction des saisons et des quantités produites. Cette année, 750 kg de pommes de terre ont été ramassés dont 550 kg avec les enfants de l’école Auguste Dupouy. Ce sont aussi plus de 300 kg de tomates, 300 kg de courgettes, plus de 250 salades sur la saison. Une partie de ces récoltes est stockée et sera consommée pendant l’hiver. L’idée est de privilégier les circuits courts afin de limiter les intermédiaires, de maîtriser la provenance des produits… Une alimentation plus saine et raisonnée sans pesticides et meilleure pour la santé avec des produits locaux 100% naturels. Autres avantages, ce fonctionnement permet de réaliser des économies et de réduire l’emprunte carbone sur l’environnement.

Un intérêt pédagogique

Les enfants, très enthousiastes, ont apprécié de ramasser les pommes de terre. Ils prendront beaucoup de plaisir lors des déjeuners et se rappelleront de ce moment de convivialité. Ils peuvent être fiers d’avoir contribué à cette chaîne alimentaire. Nous avons recueilli quelques avis : “j’aime bien creuser et récolter”, “on va manger les pommes de terre que nous avons ramassées” commentent Enzo et Louis. “L’idée est de créer un potager à la maison” argumente un autre enfant. L’idée est de transmettre les notions et les valeurs de la terre dès le plus jeune âge. Damien, employé municipal aux espaces verts et papa d’une fille de 4 ans nous explique “qu’il est intéressant de partager cette expérience avec les enfants, de leur faire découvrir la plantation et la croissance d’un plant, puis de récolter et manger la production ensemble”. Consommer des légumes que nous avons vu grandir donne plus de sens à notre alimentation.

Photo à la une : les élèves de l’école Auguste Dupouy et les agents du pôle des espaces verts ramassent les pommes de terre au potager municipal.

Mairie de Penmarc’h
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Le 10 septembre dernier, le groupe Orphée a célébré son 50ème anniversaire à la salle Cap Caval. Pour la circonstance, les “Stones bigoudens” ont invité leurs amis de Little Délire et  Shoes’ Daim. Plus de 400 personnes étaient présentes pour cette soirée organisée par les groupes avec l’accompagnement de la ville de Penmarc’h. L’atmosphère festive, décontractée, détendue a ravi le public. Des retrouvailles sincères pour toute une génération, une véritable communion !

Mairie de Penmarc’h
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Le compostage est un procédé qui permet d’apporter de l’engrais naturel aux potagers, aux plantes du jardin et d’intérieur. C’est un moyen pour recycler facilement de nombreux restes en cuisine, cependant il y a certaines choses à ne pas mettre dedans. Nous faisons le point.

Quels sont les déchets du quotidien compostables ? Vous pouvez intégrer sans problème les restes alimentaires, notamment les épluchures des fruits et des légumes, les coquilles d’œuf concassées, les sachets de thé utilisés, le marc de café, mais aussi les déchets verts : les feuilles mortes, les tontes de gazon, les tailles de haies, les fleurs fanées, les fanes du potager… ! Certaines choses sont à éviter, tels la cendre, les matières synthétiques, le plastique, les métaux, le verre, les litières d’animaux, la poussière de sacs d’aspirateurs, la terre, le sable, les tissus et autres textiles, les restes de poissons et de viandes.

Le compostage est donc à la portée de tous, de petits réflexes qui ne perturbent par le quotidien. Cette pratique s’avère économique et bonne pour l’environnement, elle permet d’éviter l’achat et l’utilisation d’engrais chimiques, de diminuer la quantité de déchets ménagers, environ 100 kg par personne et par an (source de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie – ADEME) et de limiter ainsi les coûts liés à l’élimination des déchets.

Vous n’êtes pas encore équipés d’un composteur ? Pour les habitants du Pays Bigouden Sud, il est possible d’acquérir le bac à compost en contactant la CCPBS au 02 98 87 80 58. Le composteur a de nombreux atouts, il conserve l’humidité, accélère le processus de compostage, évite les nuisances dues aux animaux, comporte un système d’ouverture pour extraire le compost, facilite la montée en température.

Autre possibilité, il est tout à fait envisageable de fabriquer son composteur. Consultez la fiche technique en cliquant ici.

Téléchargez la fiche info pratique du compostage en cliquant ici.