La maison, située au 100, rue François Merrien à l’angle du carrefour des feux tricolores, est actuellement en cours de déconstruction. Elle est en ruine et menaçait de s’effondrer. Cette étape marque le lancement de la nouvelle phase d’aménagement du bourg. Quatre axes sont concernés par ce projet, les rues de la Gare, du 19 mars 1962, François Merrien et la place du 11 Novembre 1918.

« La municipalité souhaite apaiser la circulation, sécuriser les accès tout en tenant compte des différentes mobilités, valoriser le patrimoine et retrouver ainsi une vie de quartier », explique Jean-Paul Stanzel, premier adjoint au maire.

Une placette urbaine prendra forme sur l’emplacement de la maison en cours de déconstruction avec des bancs et un aménagement paysager, ce qui contribuera à l’embellissement du quartier.

Ces travaux se feront en plusieurs phases de manière à moins perturber les riverains et les usagers.

Photo à la une : Jean-Pierre Savina, conseiller délégué aux travaux ; Jean-Paul Stanzel, adjoint aux finances et à l’économie locale et Gwénaël Perdriel, responsable des services techniques

Mairie de Penmarc’h
02 98 58 60 19

Depuis plusieurs années, la ville de Penmarc’h est partenaire avec OES (objectif emploi solidarité). Cette association propose des chantiers d’insertion professionnelle en lien principalement avec les collectivités territoriales. L’objectif est d’accompagner les personnes qui se sont éloignées du milieu professionnel tout en les réorientant et en les aidant à retrouver un travail. « Nous aidons les concitoyens qui sont en difficulté et qui peinent à revenir dans la vie active », explique Félix Burgos-Cespedes, président de l’OES. « La ville de Penmarc’h soutient cette initiative et propose plusieurs missions avec les services techniques : entretien de la voirie, des espaces verts, des chemins de randonnée, des abords du patrimoine, etc. À Penmarc’h, ces missions font travailler 8 personnes sur environ 67 jours par an » explique Jean-Paul Stanzel, premier adjoint. À l’issue de la période d’insertion, environ 50 % des aidants retrouvent du travail ou accèdent à une formation.

Objectif emploi solidarité

L’association, qui a fêté ses quarante ans cette année, a son siège à Quimper, dans la rue du stade de Kerhuel. Depuis le début de l’année, une antenne a ouvert à Pont-l’Abbé afin de répondre à une forte demande. La structure propose des chantiers d’espaces verts et d’entretien des sentiers de randonnée, etc. dans le sud Finistère pour une durée de quatre mois à deux ans. L’association, financée par l’État et le conseil départemental du Finistère, est majoritairement sollicitée par les pouvoirs publics (communes, Département…).

Contact : Objectif emploi solidarité – Rue Jeanne Bohec à Pont-l’Abbé – 06 34 44 75 94 – anne.lorenzi@oes29.fr – www.oes29.fr

Photo à la une, au premier plan : Anne Lorenzi, directrice d’OES ;  Jean-Pierre Savina, conseiller délégué aux travaux ; Félix Burgos-Cespedes, président d’OES ; Jean-Paul Stanzel, adjoint aux finances et à l’économie locale. Au second plan : Gwénaël Perdriel, responsable des services techniques et Jacques Lern, secrétaire au conseil d’administration d’OES

Mairie de Penmarc’h
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Cette année, la semaine bleue aura lieu du 02 au 07 octobre. C’est un événement national qui se tient chaque année à la même période. À Penmarc’h, le CCAS, l’association Santé Bigoudène et l’EHPAD de Menez Kergoff s’associent et proposent des animations gratuites et accessibles à partir de 60 ans. Le thème de la nouvelle édition est « vieillir ensemble, une chance à cultiver ».

Au programme : une balade avec Steven Hélias, animateur nature à la Communauté de communes du Pays Bigouden sud, le mardi 03/10 à 14h ; une dictée intergénérationnelle avec les élèves de CE2-CM2 de l’école Auguste Dupouy, jeudi 05/10 à 9h30 ; une séance de yoga avec une enseignante certifiée, vendredi 06/10 à 10h15 ; Des mains en or, film avec Josiane Balasko et Lambert Wilson au cinéma Eckmühl, vendredi 06/10 à 14h30. Le repas des aînés clôturera cette semaine festive.

Des animations à l’EHPAD

Des ateliers seront proposés aux résidents de l’EHPAD de Menez Kergoff : des chants de marins avec Kan Atao et une sortie en triporteur, ils pourront participer à la dictée intergénérationnelle avec les élèves, un atelier de médiation animale et un goûter avec les enfants de l’accueil de loisirs.

Cette semaine festive a pour but de sensibiliser les habitants et de créer des liens intergénérationnels tout en proposant des activités diversifiées.

En pratique : du 02 au 07 octobre, animations gratuites pour les penmarc’hais à partir de 60 ans. Nombre de places limité. Pour la visite de la conserverie et le cinéma, inscriptions au CCAS – 02 98 58 44 45. Pour la sortie nature, la dictée et la séance de yoga, inscriptions auprès de Santé Bigoudène – 02 98 58 55 69

Photo à la une : au premier plan, les résidentes de l’EHPAD : Janine, Henriette, Geneviève, Thérèse et Nicole. Au second plan : Morane Gouyen, animatrice à Santé Bigoudène ; Marie-Lise Tirilly, animatrice à l’EHPAD ; Fabienne Le Gars, adjointe au maire aux personnes âgées et à la solidarité ; Charlotte Le Pichon, responsable du CCAS

Mairie de Penmarc’h
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Robert Jon & The Wreck – Concert blues rock – Vendredi 29 septembre à 20h30 à la salle Cap Caval

Robert Jon & The Wreck est une fusion de rock sudiste avec du blues. Les jams rock roots, les paroles arrosées de whisky et les concerts fervents ne font qu’effleurer la surface de ce qui fait de RJ&TW l’un des meilleurs groupes live à émerger de Californie du Sud depuis des années. Avec une discographie grandissante et des prestations aux côtés de Joe Bonamassa, Sturgill Simpson et Peter Frampton, le quintette est prêt pour leur plus grande œuvre à ce jour.

Ce quintette de gentlemen folliculaires dont la notoriété grandit à vue d’œil, peaufine leur son en jouant dans des salles pleines à travers l’Europe et les États-Unis.

Gaëlle Buswel (1^ère partie)

Elle se produit sur scène depuis l’âge de 13 ans et a depuis foulé les plus belles scènes d’Europe. Fortement ancrée dans le blues-rock des années 70, ses inspirations vont autant de Led Zeppelin à Janis Joplin, que de Bonnie Raitt à Jonny Lang. Après avoir arpenté les rues de Londres et le métro parisien pour jouer sa musique, elle sort en 2012 son premier opus, Yesterday’s Shadow. Depuis, elle enchaîne les concerts avec fougue, partageant la scène avec les plus grands. Frissons garantis !

En pratique

• Vendredi 29 septembre à 20h30, salle Cap Caval
• Tarifs : 15€/12€
• Billetterie : mairie de Penmarc’h, sur les réseaux Seetickets, Fnac et Ticketmaster. Le soir du concert, 30 mn avant l’ouverture des portes.

Les arbres, arbustes et haies, situés aux abords des routes sur des propriétés privées, peuvent perturber les déplacements et s’avérer dangereux. Ils réduisent la visibilité de la circulation des usagers (piétons, cyclistes et automobilistes).

Pour la sécurité et le bien vivre ensemble, la municipalité rappelle aux propriétaires riverains qu’il est obligatoire de tailler et d’entretenir les haies et plantations en bordure du domaine public.

Les riverains doivent obligatoirement :

• Élaguer ou couper régulièrement les plantations, arbres, arbustes, haies, branches et racines en bordure des limites des voies publiques ou privées, avec une hauteur limitée à 2 mètres, de manière à ce qu’ils ne gênent pas le passage des piétons, ne cachent pas les feux de signalisation et les panneaux (y compris la visibilité en intersection de voirie).
• Les branches et la végétation ne doivent pas toucher les lignes téléphoniques, d’électricité et d’éclairage public, au risque de provoquer des coupures.

Cet entretien est indispensable pour veiller à la sécurité, assurer une bonne visibilité dans les déplacements et contribuer à améliorer le cadre de vie. Si l’entretien n’est pas fait, la responsabilité du propriétaire peut être engagée en cas d’accident.

Les déchets issus de la taille ou de l’élagage sont à déposer à la déchetterie de Lezinadou à Plomeur ou compostés. En aucun cas, ils ne doivent être incinérés.

Photo à la une : image d’illustration

Mairie de Penmarc’h
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Dans le cadre du changement climatique et du rapport publié par le GIEC* en 2023, quatre représentants du HCBC (Haut conseil breton pour le climat) ont organisé une réunion de travail à Penmarc’h. Ils ont fait un tour d’horizon des sites littoraux de la commune avec la maire Gwenola Le Troadec, le responsable des services techniques de Gwénäel Perdriel et le chargé de mission des submersions marines à la CCPBS (Communauté de communes du Pays Bigouden sud) Guillaume Esteva-Kermel.

Plusieurs points ont été abordés : les risques de submersion, l’érosion dunaire, le recul du trait de côte, l’augmentation de la température de l’océan et l’acidification, les impacts sur la biodiversité et la pêche. Par sa situation géographique, sa géomorphologie et sa richesse écologique, la ville de Penmarc’h est particulièrement exposée aux conséquences du changement climatique. “L’idée des rencontres organisées par le HCBC est de comprendre la réalité des problématiques rencontrées par les communes et de faire le lien avec les connaissances scientifiques” explique Jean Digonnet, animateur au HCBC.

“L’évolution du changement climatique est liée à nos émissions de gaz à effet de serre” commente Anne-Marie Tréguier, co-présidente de HCBC et océanographe physicienne, directrice de recherche CNRS à l’UBO (Université de Bretagne Occidentale). Elle est co-autrice du 6^ème rapport du GIEC. “Si nous diminuons nos émissions, les températures se stabiliseront et nous aurons plus de temps pour nous adapter”.

Une visioconférence en mairie avec un comité élargi du HCBC a clôturé la réunion de travail.

Le haut conseil breton pour le climat

Le haut conseil breton pour le climat a pour principale mission d’orienter la Région sur la cohérence et la pertinence de ses politiques au regard des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de préparation de la Bretagne aux effets du dérèglement climatique. Le HCBC est une instance régionale composée par des scientifiques.

*Le GIEC est un groupe d’experts intergouvernemental qui travaille sur l’évolution du climat. Dans son rapport, il rappelle que les émissions de gaz à effet de serre, dues aux activités humaines, ont réchauffé le climat à un rythme sans précédent : la température de la surface du globe s’est élevée d’ 1,1 °C par rapport à la période pré-industrielle.

Photo à la une. Au premier plan de gauche à droite : Nicole Roux, sociologue à l’UBO ; Gwenola Le Troadec, maire ; Anne-Marie Tréguier, co-présidente de HCBC ; Jocelyne Le Rhun, adjointe au maire. Au second plan : Guillaume Esteva-Kermel de la CCPBS ; Philippe Davy, membre au HCBC ; Gwénaël Perdriel des services techniques municipaux ; Jean Digonnet, animateur HCBC

Les enfants et la collecte de potimarrons

Dans la continuité pédagogique des potagers installés dans les cours des écoles et des actions de sensibilisation menées par la municipalité et les agents des espaces verts, douze enfants de l’ALSH (accueil de loisirs), âgés de 8 à 11 ans, ont récolté 500 kg de pommes de terre et des potimarrons au potager municipal. Ils étaient très enthousiastes de participer à cette collecte et pour certains, ce n’était pas la première fois. “Je suis déjà venue l’année dernière avec ma classe et je suis contente d’y participer à nouveau” explique Maëlle 9 ans, élève à l’école Auguste Dupouy.

Cette initiative permet de sensibiliser les enfants au développement des semences jusqu’à la récolte, de les informer sur la saisonnalité des fruits et des légumes. Le potager et la serre sont une volonté de la municipalité, les objectifs visent à produire localement et à privilégier les circuits courts, de fournir en quantité suffisante les structures municipales, de transmettre des valeurs…

Du champ à l’assiette

Les récoltes sont ensuite acheminées au restaurant scolaire, à l’EHPAD de Ménez Kergoff (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) et au CCAS (Centre communal d’action sociale). Les cuisiniers élaborent les menus en tenant compte de la saisonnalité et des quantités des légumes. Les enfants apprécient de manger leurs récoltes et d’en faire bénéficier d’autres habitants.

Du champ à l’assiette, les circuits courts permettent de limiter les intermédiaires, de maîtriser la provenance des produits, de réduire les impacts des transports pour une économie durable en faveur de l’environnement.

La serre municipale et le potager sont situés à proximité du bourg sur une parcelle communale d’environ 1 500m². Cette année, les jardiniers ont collecté 350 kg tomates, 400 salades, 150 kg de courgettes et 220 potimarrons. À l’automne, ils récolteront les poireaux, betteraves et butternuts.