Le camping municipal a réouvert le 1er mai

Le camping municipal a réouvert le mercredi 1er mai, le personnel a déjà accueilli ses premiers visiteurs.

Sandrine et Jimmy ont été les premiers à franchir le portail. Venus de Nantes, de St Sébastien exactement, ils ont poursuivi leur découverte du Pays Bigouden en séjournant deux jours au camping municipal pour découvrir Penmarc’h et sa pointe. Une installation en toute quiétude avec un emplacement de choix face à la mer. Au programme, une balade en vélo et l’exploration des environs, avec un but avoué, prendre des photos de la nature et aller à la rencontre de phoques, que Jimmy a déjà croisé en plongée à Crozon.

Le camping propose 179 emplacements dans un cadre exceptionnel proche de la mer, ainsi que de nombreux services et activités à découvrir. Idéalement situé le long du GR34 et de la véloroute reliant La pointe du RAZ à l’Île Tudy, il bénéficie d’un accès direct à la plage du Ster, et des activités offertes par le centre nautique municipal.
Gageons que la saison touristique qui démarre va connaître, avec la complicité d’une météo favorable, un succès encore plus important qu’en 2018.

 

Camping municipal

02 98 58 86 88

www.penmarch.fr – campingpenmarch@orange.fr

Jardin de Kerlaereg : des conseils de compostage et de paillage

Jérôme Sanchez conseille sur le mode de compostage

Le samedi 4 mai, le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) et la ville de Penmarc’h ont proposé aux mains vertes du jardin partagé de Kerlaereg, aux résidents de l’EHPAD, aux jeunes de l’accueil de loisirs et de l’espace jeunes un atelier original sur le thème du compostage et du paillage. Sonia Jore, de l’association écocitoyenne sur un Air de Terre et Jérôme Sanchez, de la Communauté de Communes du Pays Bigouden Sud (CCPBS) ont animé cette rencontre.

Les deux experts ont prodigué quelques conseils sur l’utilisation du composteur et la réalisation du paillage dit “en lasagnes”, une technique de jardinage qui consiste à placer au pied des plantes des matériaux organiques et minéraux pour le nourrir et/ou le protéger. Le paillage présente plusieurs avantages : conserver l’humidité du sol, éviter l’apparition de ”mauvaises herbes” et créer un habitat propice au développement d’insectes alliés. Cet après-midi constructif et riche en échanges s’est clôturé autour d’un goûter.

95 rue Lucien Le Lay à St Guénolé

02 98 58 44 45 – ccas@penmarch.fr

Le projet de signalétique présenté aux professionnels penmarc’hais

Un comité de pilotage, composé d’élus et mené par Karine Cosquéric, adjointe chargée du tourisme, travaille actuellement sur le projet de mise aux normes de la signalétique de la commune. Partant du constat que l’ensemble des panneaux implantés sur la commune sont disparates, vétustes et majoritairement hors normes, les élus ont confié le projet à AMOS (Assistance Maîtrise d’Ouvrages Signalisation), bureau d’étude basé à Nantes.

L’objectif est de procéder à un remplacement de tous les panneaux de signalisation directionnelle et commerciale afin de se mettre en conformité avec les réglementations en vigueur tant du code de la route que de l’environnement. Le département a déjà mis en œuvre le renouvellement des panneaux directionnels implantés sur les axes départementaux.

La nouvelle signalétique devra hiérarchiser les principaux pôles : les quatre quartiers, les plages, les structures recevant du public (stade municipal, office de tourisme…), tout en créant des liens entre les soixante-quatre carrefours communaux. L’objectif est d’améliorer le guidage des déplacements des personnes de passage tout en limitant le nombre de panneaux. Le coût est estimé à environ 150 000€.

À mi-parcours de l’étude, les élus ont souhaité présenter le projet à l’ensemble des professionnels de Penmarc’h. Une réunion a été organisée à ce titre le 6 mai, à la Maison Pour Tous.

Rappelons que dans ce contexte, l’affichage public intégrant les enseignes publicitaires des professionnels devra s’adapter à la charte départementale. Par ailleurs, il est rappelé qu’il est interdit, sous peine d’amende, d’afficher sur les ouvrages EDF, le mobilier urbain, les arbres…

Photo à la une : en préambule de la réunion, Raynald Tanter présente le projet aux professionnels

Lutte contre la prolifération des Choucas des tours

La prolifération des Choucas des tours cause d’importants dégâts aux cultures et leurs nids dans les cheminées peuvent présenter un risque pour la sécurité. Cet oiseau est une espèce protégée : une dérogation préfectorale permet des prélèvements d’oiseaux dans les secteurs les plus concernés, opérations strictement encadrées par arrêté préfectoral.

Par ailleurs, les données actuelles montrent que la plupart des Choucas du Finistère nichent dans les cheminées. Une des actions permettant de ralentir le développement de cette espèce est la généralisation de la pose de grillages sur les conduits, afin de diminuer le nombre de sites de reproduction. En outre. ces grillages éviteront la formation des nids susceptibles d’empêcher une évacuation satisfaisante des fumées et d’entraîner des risques sanitaires ou de départ d’incendie.

Nous remercions donc les personnes concernées qui mettront en place ces grilles à l’issue de l’actuelle période de nidification. Nous vous rappelons que cette opération devant respecter les règles de sécurité, il est conseillé de faire appel aux services de couvreurs ou poseurs de cheminées.

L’ambroisie, une plante très allergisante à éradiquer

L’Agence Régionale de Santé (ARS) Bretagne nous informe sur les problèmes occasionnés par l’ambroisie.

L’ambroisie  fait partie des rares végétaux qui n’ont aucune qualité, de quelque nature qu’elles soient, à mettre en avant : ni gustative, ni esthétique, ni médicinale. Bien au contraire, elle est à l’origine de très nombreuses pathologies liées à la dissémination de son pollen, à partir du mois d’août jusqu’en octobre. Ce pollen extrêmement allergisant provoque rhinites, urticaires, toux, eczéma, conjonctivites, asthme, trachéites, etc, qui peuvent s’avérer très handicapants mais aussi très couteux en termes de soins.

L’ambroisie, appelée également herbe de la Saint Jean, herbe à poux, absinthe de pays, ambroisie à feuilles d’artémise, a été repérée en France au milieu du XIXè siècle ; elle n’a cessé de se développer, dès lors, de coloniser les lieux, plus particulièrement les sols dits “ouverts”, profitant de tous les bouleversements et modifications de l’écosystème dus à la mécanisation de l’agriculture et aux aménagements routiers. Le couloir rhodanien est son creuset historique mais aujourd’hui, toute la moitié Sud de la France est concernée par l’ambroisie.

L’ambroisie a une haute tige droite couverte de poils blancs avec des feuilles vert vif finement découpées et des rameaux rougeâtres alternes. Son port est buissonnant assez large, les fleurs monoïques vert jaune deviennent jaunes une fois ouvertes, elles forment des chandelles droites de juillet à septembre-octobre qui produisent le pollen si allergisant. Par la suite, de septembre à décembre, ce seront les graines (akènes) qui apparaitront pour permettre la reproduction rapide de l’ambroisie.

Cliquez sur les visuels pour consulter les annexes de l’Agence Régionale de Santé

Réunion publique : présentation du projet d’aménagement du Bourg : lundi 13 mai à 20h30, Cap Caval

Lundi 13 mai à 20h30
Réunion publique
Présentation du projet d’aménagement du Bourg
Salle Cap Caval

Dans la continuité de la refonte de l’entrée du bourg et à l’approche de l’achèvement des travaux de rénovation de la mairie, la municipalité invite la population à la présentation de la démarche d’aménagement globale du centre Bourg.

Initiée par la commune avec l’appui du bureau d’Étude A-MAR Paysage, ses objectifs sont les suivants : la revitalisation du centre Bourg par l’aménagement qualitatif comprenant des travaux de voirie, une redistribution de l’espace public autour de la mairie, de l’église St Nonna et de la salle Cap Caval.

Concours des jardins et balcons fleuris, inscrivez-vous dès maintenant

Fleurir la ville est l’affaire des jardiniers municipaux mais c’est également une démarche à laquelle de très nombreux habitants Penmarc’hais s’associent. Afin de récompenser leurs efforts, la municipalité a décidé de lancer son cinquième concours des maisons fleuries. Les inscriptions sont dès à présent ouvertes.

Un jury, composé d’élus et de jardiniers professionnels, se rendra chez chacun des participants afin de découvrir les réalisations. De nombreux critères entreront dans la notation des juges. L’aspect esthétique des végétaux, bien sûr ; le mobilier de jardin et les éléments de décoration, mais également les efforts en matière de protection de l’environnement seront largement pris en compte. La gestion de l’eau, l’utilisation raisonnée de produits chimiques, feront partie intégrante de la note, tout comme les actions en faveur du domaine public (l’entretien et la propreté du trottoir par exemple).

Trois catégories sont créées : les maisons avec jardin, les balcons terrasses ou pas-de-porte et les espaces le long de la voie publique. Pour chacune de ces catégories, un prix sera attribué.

Pour s’inscrire, il suffit de remplir un formulaire en cliquant sur le lien ci-dessous ou de remplir un bulletin d’inscription disponible à l’accueil de la mairie de Penmarc’h avant le 13 mai.

28 avril, une cérémonie en mémoire des Déportés

Raynald Tanter, maire et les jeunes du CMJ saluent les portes-drapeaux

Le dimanche 28 avril, Raynald Tanter, maire, a rendu hommage aux Déportés, une cérémonie souvenir pour ne pas oublier les Victimes de la Seconde Guerre Mondiale.

Chaque année, le dernier dimanche d’avril commémore les Victimes de la déportation dans les camps de concentration et d’extermination. Raynald Tanter, les portes-drapeaux et les jeunes du CMJ se sont recueillis devant le monument aux Morts au Bourg de Penmarc’h.

Discours de Raynald Tanter

“Mes chers amis,

Le message que nous venons d’entendre nous rappelle ô combien les atrocités perpétrées sur des êtres humains au nom de je ne sais quelle idéologie imaginée par d’autres êtres humains, et ce, au seul prétexte d’une soi-disant perfection génétique qu’ils qualifiaient eux-mêmes de race supérieure.

Une doctrine portée par le parti Nazi allemand qui a conduit à la plus ignoble persécution de tous les temps envers les juifs d’Europe, mais aussi envers les opposants politiques, les résistants, les homosexuels et beaucoup d’autres. Persécution, de laquelle peu ont survécu. Tant l’élimination était autant le mot d’ordre que le maître mot. Malheureusement, et c’est un très lourd tribut de notre histoire, cette doctrine a trouvé écho dans notre pays, auprès de certains dirigeants certes, mais aussi bien au-delà, conduisant un très grand nombre à se rendre complice voire à être acteur des pires exactions. C’est que l’on a communément appelé la collaboration avec l’ennemi, mais en fait, cela révélait également une propension à partager cette idéologie perverse.

Il se trouve qu’en ce moment, je suis en train de lire un roman traitant de cette sale période de notre histoire contemporaine, un ouvrage écrit par Romain Slocombe, auteur que j’ai eu l’honneur d’héberger lors de sa participation au salon du Goéland Masqué. La description des méthodes ayant conduit à la rafle du Vel d’Hiv par la police française, ainsi que les conditions absolument ignobles dans lesquelles les personnes étaient parquées en attente de leur déportation, sont pour le moins insupportables. On n’ose imaginer que cela ait pu exister et être l’œuvre de personnes pouvant être qualifiés d’être humains, là où le mot humain doit être compris dans son acception philosophique. Et pourtant, ça a été malheureusement le cas. Une période sombre, nauséabonde, mêlant fascisme, nazisme, racisme, antisémitisme…et autres dénégations toutes autant inacceptables. Une finalité qualifiée alors de bête immonde, expression tirée des écrits d’un certain Bertold Brecht. Il est bon quelquefois de se repréciser l’origine de cette expression, et de rappeler aussi qu’elle ne doit en aucun cas être reprise à d’autre fin que celle à quoi elle fait référence.

Les élans de populisme qui renaissent aujourd’hui de plus en plus… en France mais aussi dans toute l’Europe, les actes antisémites, l’homophobie latente, tous les actes d’exclusion ou encore de protectionnisme humanitaire, me font dire plus que jamais, et encore plus à quelques encablures des élections européennes, que nous sommes une nouvelle fois face à notre conscience. Dit autrement, je ne voudrais pas, je ne veux pas, et j’ose espérer que vous non plus vous ne le voulez pas, que la France, que l’Europe puisse offrir l’image d’un ventre encore fécond d’où pourrait ressurgir la bête immonde.

Vive la Liberté, vive l’Égalité, vive la Fraternité, vive La France”

ALSH : cap sur les étoiles

Pendant les vacances de Pâques, l’association “Cap des étoiles” a proposé une animation originale au stade municipal autour de son planétarium gonflable. Durant deux jours, l’association a animé des ateliers scientifiques : le chaudron des sciences et l’atelier spatial au cours duquel les enfants ont fabriqué des fusées à air comprimé. Les séances ont été plébiscitées par les enfants.

“Les jeunes étaient impatients de faire décoller la fusée qu’ils ont fabriquée. L’objectif de ce projet était de leur faire découvrir l’astronomie et les domaines scientifique et spatial pour, peut-être, faire naître des passions”, ont indiqué les responsables.
L’association, basée à Crozon, va à la rencontre du public, elle a pour objectif de diffuser et de partager les expériences à caractère scientifique. Le lundi 16 avril, les parents étaient invités à partager cette expérience.

Photo à la une : les jeunes présentant leur fusée devant le planetarium

Accueil de loisirs
Rue des écoles 29760 Penmarc’h
02 98 58 76 93 / alsh@penmarch.fr

Des diplômes aux premiers secours décernés à l’espace jeunes

Pendant les vacances de février, une quinzaine d’ados fréquentant l’espace jeunes ont suivi une formation aux premiers secours (PSC1). Une initiative proposée par les animateurs de la structure et réalisée en partenariat avec l’association “En hommage à Erwan”. La formation se déroulait en deux phases : une partie théorique, suivie de la pratique, dispensée par les formateurs de la SNSM de Quimper. Le 19 avril, Corinne et Daniel Primot, présidente et vice-président, ainsi que plusieurs bénévoles de l’association ont remis officiellement les diplômes aux jeunes formés.

“Avec cette formation, ces jeunes entrent dans la catégorie du premier maillon de la chaîne des secours. Je suis fière d’eux. Cette future génération formée aux gestes de premiers secours va nous aider à rattraper notre considérable retard par rapport à nos voisins européens”, a souligné Corinne Primot.

Photo à la une : les jeunes diplômés, les membres de l’association “En hommage à Erwan”, l’un des formateurs de la SNSM, Priscilla, animatrice à l’espace jeunes, Raynald Tanter, maire, Marie-Claire Dupont et Dominique Plouhinec, adjointes